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diversifolia

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Création : 29/03/2013 à 15:39 Mise à jour : 31/12/2013 à 09:39

M. 17 ans
- Au régime -
 - Boulimie - Hyperphagie-
 Brasil
Piercée, Tatouée, Stretchée


Se lever. Se peser. Aller au sport. Manger. Souffrir. Travailler. Manger. Souffrir. Se peser. Ne pas dormir. Recommencer.

Un beau jour j'ai disjoncté, le choc à été fatal, maintenant ma vie c'est ça.
N'hésitez pas à me contacter, je ne mord que très rarement.


Défouloir impudique d'émotions 
 
-TOUS les textes sont écrits de ma main, sauf précision évidemment, merci de respecter cela.
- Les nouveaux articles se trouvent au début du blog, les plus vieux à la fin.

Habillage❤ 
 Je suis répertoriée ici❤
​ 241 | 449
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#Posté le vendredi 29 mars 2013 15:52

Modifié le mardi 31 décembre 2013 08:47


 
 
Ne vous tracassez pas, l'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crane.

Malade, malade, malade de tristesse, malade de dépit, malade de dégoût, malade de honte, malade de haine, malade d'elle même. C'est l'histoire d'une jeune fille, ou plutôt l'histoire du corps d'une jeune fille dans lequel vie une fillette, une fillette inadaptée et malheureuse. L'histoire d'une jeune âme, petite et immature qui n'accepte pas ce corps d'adulte, ce corps rond, ce corps charnu, ce corps fait de collines et de vallées. Cette petite fille, elle, si quelqu'un lui avait demandé son avis aurait préféré vivre ailleurs, habiter une autre enveloppe physique, un autre corps. Mais malheureusement personne ne lui à jamais demandé quoi que ce soit, elle s'est retrouvée enfermée dans ce corps comme dans une prison, à vivre derrière les barreaux, des barreaux de graisse. Elle, elle aurait voulu vivre dans un corps qui ressemblerait à son esprit, une similarité parfaite entre le corps et l'esprit, c'est à dire un corps frêle, un corps léger, un corps lisse, un corps ne gardant pas la trace de toutes les batailles qu'elle à mené. Malheureusement cette fillette n'a pas eu la chance de pouvoir choisir, une question de gênes, une question de destin surement. Mais voyez vous cette petite se sent mal, elle voudrait s'envoler, que son corps lui laisse cette liberté, elle voudrait offrir la liberté à son âme en allégeant son corps. Mais c'est un combat sans fin, le corps prend le dessus encore et toujours. La petite fille se retrouve dans ce corps de femme qu'elle n'est pas prête à accepter, elle se trouve face aux obligations de ces dernières. Petite fille à peine sortie de l'enfance recèle des trésors de vie à l'intérieur de son ventre. Petite fille est triste. Petite fille à mal, petite fille ne comprend pas...
(...)
​ 25 | 2
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#Posté le jeudi 04 juillet 2013 19:29

Modifié le vendredi 05 juillet 2013 15:21


 
Tu n'imagines même pas.
 
Sous ta couverture, entre tes bras, ta sueur mêlée à la mienne, ta peau calcinant chaque parcelle de mon corps. Tes mains, ah, tes mains, tes superbes mains, de véritables artistes. D'un mouvement du poignet tu laisses glisser tes doigts le long de mon dos, ils descendent, ils parcourent des chemins tracés depuis la nuit des temps. Tes yeux, les plus belles étincelles du monde, un flambeau dans la nuit, du vert, du vert partout, du vert qui m'entoure, qui me happe, qui tue mes sens à petit feu, des yeux capables de transformer n'importe qui en esclave. Niais n'est ce pas ? Jamais des mots seront à la hauteur des sensations, des sensations dont mon corps s'est rempli  contre le tiens, ces sensations inconnues,totalement nouvelles, délectables, adorables, des sensations qui laissent un goût de trop peu. Un goût amer... 
 
Je crois que je n'ai jamais été amoureuse d'un corps, jamais. Petit ange, avec toi c'était différent,j'étais amoureuse de ton esprit, ta façon d'être, d'envisager la vie, ton amour pour la liberté, cette puissance qui t'habitait mais j'étais aussi en amour avec ton corps. Cette enveloppe qui n'est pas creuse, cette magnifique enveloppe pleine de vie, d'une vie imaginaire incroyable. C'est un tout, à mes yeux tu formes et tu formais un ensemble, un ensemble méritant d'être aimé, apprécié, pris en compte, analysé, écouté. Au fond, je n'ai pas eu le temps d'apprécier toute la grandeur de ton être intérieur, je suis persuadée qu'il faudrait des années, mais sais-tu, j'aimerais apprendre de toi, encore et encore.
 
Oui, ceci est un ode, une ode à un petit ange déchu.
 
Le texte que vous achevez de lire est un extrait des mémoires inédites d'une fille un peu paumée et un peu malheureuse. Mais pas tout le temps, heureusement !
​ 15 | 8
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#Posté le mardi 02 juillet 2013 15:12


 

Braises, brasier, calcination, embrasement, étincelle, flambée,flammes, fumée, ignition, incendie, ardeur, bouillonnement, chaleur, courage, élan,empressement, enthousiasme, exaltation, fièvre, fougue, frénésie,furie, passion, pétulance, violence, vivacité,ardeur, chaleur, désir, enthousiasme, exaltation, fièvre, flamme,passion,aigreur, ampoule, brûlure, cloque, dessèchement, braise, , étincelle, flambeau, incendie, tison, torche, inflammation,irritation, ulcération. Lumière.
 
 
Le feu me fascine, comme beaucoup. Le feu chauffe, réchauffe les corps et les coeurs vides. Les âmes froides, les âmes gelées par le manque. Le feu anime, il créer des illuminations au plus profond des orbites vides. Il libère les rêves, il désinhibe,il laisse les corps s'exprimer au son de ses crépitements et à l'ombre de ses étincelles. Le feu c'est comme l'eau, c'est la vie, c'est le désir, c'est l'enchevêtrement des corps dans l'ombre, c'est la sueur, la lutte douce qui se déroule sous le ciel étoilé toutes les nuits. C'est la beauté, cette beauté vacillante et incertaine, cette beauté qui se capture d'un regard, d'une respiration. C'est cette odeur de bois fumé sur les vêtements et dans les cheveux au petit matin, c'est ces cendres, témoins désormais morts de cette vie et de cette beauté. Tu sais, l'époque pas si lointaine ou je passais mes soirées sur la plage devant chez moi, devant ce feu, ces braises, ce rougeoiement permanent, ces étoiles dans les yeux dans les bras d'un ange. Quand je ne faisais qu'aimer, cette époque me manque.
​ 20 | 7
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#Posté le lundi 01 juillet 2013 20:34

Modifié le mardi 02 juillet 2013 11:00


 
 
"Me enamoraste y luego te marchaste
me pregunto en lo que pensaba cuando te deje partir"
 
Dix, neuf, huit,sept, six, cinq,quatre, trois, deux,un, POW ! Voilà, ça y est, c'est bon, tout est terminé, ma patience à rendu l'âme. Je suis trop crevée, trop usée, trop tannée d'attendre un signe de vie, un signe qui arrivera selon ton bon vouloir. Je suis tannée d'être attachée, entravée à ta volonté. Usure des sens, usure du corps. Je suis fatiguée de ne plus te voir passer devant chez moi le matin, je suis tellement malheureuse de ne plus pouvoir te parler, comme je te parlais, librement, calmement. Si j'étais vraiment ingrate je pourrais me laisser aller à dire que tu  n'as pas fait ce que tu avais promis, que tu ne me donnes pas de nouvelles, mais après tout, tu n'as rien dit, rien du tout. Pas de promesses, juste cette liberté. Cette liberté que j'aime tant mais qui me fais un peu mal, je dois l'avouer. Je suis attachée à toi, peut-être même un peu trop.  Le temps va t-il guérir cette nouvelle blessure qui se creuse un peu plus chaque jour ?
​ 16 | 2
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#Posté le dimanche 30 juin 2013 22:06

Modifié le lundi 01 juillet 2013 12:28


50 putain de kilos.
 
Un chiffre, quelques grammes, des centigrammes, de la peau, du muscle mais surtout une masse de graisse immonde. Pour la première fois depuis de nombreuses années j'avais réussi à passer sous la barre des 50 kilos,je pesais 48 kilos,  mon ventre était tendu, presque plat, mes os saillaient, je me sentais si bien. J'ai tout gâché, encore une fois, une fois de plus. Je ne m'affamais même pas, je ne pensais juste  plus à me nourrir, j'étais occupée, mon esprit voguait loin, mon corps était occupé a sentir, ressentir la présence de ce garçon. Plus rien n'était important. Tout change, tout remonte, je rêverai d'envoyer cette satanée balance par la fenêtre, je voudrais tant pouvoir être mince, gracile, sans efforts comme toutes ces filles inconscientes de leur chance. Je voudrais tellement m'éloigner de toutes ces préoccupations existentielles débiles, ne plus être sans arrêt dans le contrôle, la culpabilisation, la haine, la honte... Je voudrais juste m'en sortir.
 
Il y a une voix dans ma tête, parfois un murmure, parfois un hurlement strident, une voix qui ne me laisse jamais le loisir d'oublier ce que je suis, à quoi j'en suis réduite. Je n'arrive pas a m'en défaire, je n'arrive plus. Je voudrais tant être à nouveau capitaine de mon âme comme je l'étais avant. Avant, cet avant parait si loin désormais. La réalité s'installe, peu à peu elle creuse sa tanière pour ne plus jamais s'en aller.  Un jour, un jour. C'est toujours ça, remettre au lendemain, vivre une vie faite d'espérance, attendre toujours le jour suivant, vivre dans l'espérance, peut-être trouver un bonheur hypothétique, un bonheur bien planqué . Je déteste cela, se dire que tout s'arrêtera quand je serais mince, quand je rentrerai dans du 34, quand mes bras seront fins et musclés, quand mon ventre sera plus plat qu'une planche à repasser, quand mes cuisses feront la largeur de celles des filles de 9 ans. Mais merde à la fin, tout dépend de moi, personne d'autre ne peut décider de vivre bien. Personne ne le fera à ma place, je me dois d'être heureuse, à la sueur de mon front. C'est ça, se sentir dévaler la pente, sans freins, sans moyens mis à part celui de regarder en ayant l'image de la fin devant les yeux.
 
Courage mes princesses, le combat ne fait que commencer.
​ 22 | 19
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#Posté le dimanche 30 juin 2013 13:49

Modifié le dimanche 30 juin 2013 14:05

 

 
 
Je te sens, je te ressens jusqu'au plus profond de mon bide.
 
Ouais, tu me manques, je hais cette distance, cette route qui t'as vue partir. Ces jours ensoleillés, ces nuits pluvieuses, contre toi, à tes côtés me laissent un arrière goût d'amertume. J'aurais voulu que ce soit éternel, je compte bien recroiser tes yeux verts au milieu d'une foule d'inconnus un jour ou l'autre, mais au fond j'espère que ce jour arrivera plutôt tôt que tard. Je sais pas si avec le temps notre entente serait restée au beau fixe comme elle l'était, je ne sais pas si au fil des années je n'aurais pas eu envie de te tuer, je ne sais pas si je ne serais pas tombée folle amoureuse de toi chaque jour. En fait je ne sais rien. T'as tout retourné sur ton passage, t'as tout foutu en l'air, d'un regard... Je suis même plus capable d'aligner quelques mots, je suis trop retournée pour ça. Cet état de léthargie semi éveillée est devenu mon état naturel à chaque fois que ton foutu prénom est prononcé. J'crois bien que je suis amoureuse, amoureuse de toi. Il est temps ? Tu crois ? De toute façon ça fait trop longtemps que tu creuses un vide au fond de mon ventre, c'est paradoxal. Tu creuses un vide, un vide de sentiments au milieu de mon ventre, mais ce même vide  tu l'as rempli d'une partie de toi qui pousse peu à peu, qui comble ce vide sentimental. C'est tellement paradoxal, tout est paradoxal dans ma vie. Rien n'est droit, tout est penché. Je sais plus rien. En fait je ne veux plus rien savoir, je préfère attendre. Attendre un message, une infime signe de vie.
 
 ❤
 Saudade.
​ 17 | 5
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#Posté le jeudi 27 juin 2013 21:22

Modifié le jeudi 27 juin 2013 21:55


 
Tu devrais te pencher par dessus la balustrade du 23 ème étage.
 
Il y a des choses comme ça, des choses qui ne veulent pas s'évanouir dans le rien, des choses qui ne veulent pas s'effacer, qui ne veulent par se faire oublier. Tout comme ce foutu chiffre sur la balance qui ne veut pas baisser, qui ne veut pas s'évanouir une bonne fois pour toutes. Je n'arrive plus, je ne sais plus, je ne peux plus. J'ai perdu mon chemin en route, je ne sais plus où aller, quelle direction prendre, vers qui me tourner. Je suis dans le brouillard, ce genre de brouillard épais qui éloigne de tout, de la famille, des amis, des amours, de la réalité... Pour ne pas changer je suis encore paumée, j'ai envie d'écrire, de lâcher ces sentiments et cette masse de tourments sur ce journal. Je m'ennuie de lui, je m'ennuie de la vie. Pourquoi ne suis-je pas partie aussi ?
​ 16 | 3
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#Posté le jeudi 27 juin 2013 21:04


 
 Mourir,à force de  se sentir grossir. 
 
Petit ventre qui s'arrondit doucement, délicatement, sans se brusquer mais qui pousse chaque jour un peu plus, cuisses qui s'élargissent encore et encore, joues qui se gonflent, seins qui grossissent, moral qui s'étiole. Tel est le tableau, voici ma réalité. Je voudrais tant que tu sois là, pour me faire grandir dans tes yeux verts, pour passer tes mains sur ce ventre remplit de toi. Pour m'apprendre à accepter, à aimer, à oublier. Juste pour revoir une dernière fois ta silhouette en ombre chinoise dans le soleil du matin, juste pour rire une dernière fois, juste pour vivre la vie à laquelle nous aspirons, juste pour bâtir des rêves de liberté à plusieurs. 
 
C'est pas si fou que ça. Je ne suis pas si folle, nous ne sommes pas si fous.  Nous sommes juste lucides, clairvoyants. Nous aspirons à une vie différente, à une vie, une vraie. Une vie qui brûle tout, une vie qui se ressent à l'intérieur, une vie qui pique, une vie dotée d'un goût, d'une putain de saveur. Une vie libre, une vie sans règles, sans carcans stupides,sans faux problèmes. Tu sais ce que ça fait de courir le long d'une route, toujours plus loin, toujours plus vite jusqu'à ne plus sentir ses jambes, jusqu'au moment ou le coeur arrive à prendre son envol sur cette piste de bonheur ? Tu sais ce que ça fait de vivre une vie pleine de bonheurs, pleine de rêves ? Une vie qui ce suffit à elle même ? Une vie qui peut être vécue sans ressentir ce besoin de substituer un hypothétique bonheur en enchaînant les bières ? Le genre de vie saine et pleine, un espèce de rêve utopique ultra développé, trop imaginé, trop pensé, trop attendu.
 
 

 C'est pas facile de vivre dans ma tête et mon corps à temps complet.
 
 
 
 

 
​ 25 | 22
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#Posté le mercredi 26 juin 2013 21:13

Modifié le jeudi 27 juin 2013 20:58


 
Si seule que je pourrais en mourir.
 
Solitude du coeur, solitude de l'âme, solitude des sens, solitude,douce solitude. Cela fait déjà quelques temps que je ne respire plus ton parfum, que l'odeur de tes clopes n'est plus incrustée sur ma peau et mes vêtements. Cela fait déjà quelques temps que tes tatouages ne dégorgent plus sur ma peau à force d'être serrée contre toi. Cela fait déjà trop de temps que mes yeux ne se noient plus dans l'immensité verte de tes pupilles. Cela fait beaucoup trop de temps que tes pas se sont mêlés à l'asphalte de la route.  Tu m'a sauvée et tu t'en est allé, je suis sensée faire quoi maintenant ? Reconstruire un semblant de vie, seule, avec un débris minuscule de toi à l'intérieur de mon ventre. Je t'aime tellement, je voudrais tellement tout claquer et partir, partir sur cette longue route de la vie à tes côtés, avec toi, aussi loin que la vie nous laissera aller et surtout ne jamais revenir. Fuir, fuir non pas les responsabilités mais plutôt cette vie qui enferme, qui étouffe dans des carcans inutiles. 
 
Au nom de la liberté, je marcherais loin.
 
​ 18 | 2
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#Posté le mercredi 26 juin 2013 19:17

Modifié le mercredi 26 juin 2013 19:30


 
 
La libertad no es una filosofía y ni siquiera es una idea: es un movimiento de la conciencia que nos lleva, en ciertos momentos, a pronunciar dos monosílabos: si o no. en su brevedad instantánea, como a la luz del relámpago, se dibuja el signo contradictorio de la naturaleza humana.


Il m'a écrit.

Petit ange, je ne sais même pas par quel chemin tu pars, par quel chemin tu t'éloignes. Je ne vois plus, je ne veux plus voir, je veux juste me concentrer sur cette sensation qui creuse un puit béant dans ma poitrine, cette sensation inégalable, cette sensation qui est reine au royaume de  l'irreproductible. Un message, quelques mots gravés à l'encre du coeur sur un écran blanc, quelques mots et une avalanche de sensations, de sentiments, incontrôlables. Je voudrais juste mourir encore une fois, me consumer une fois de plus entre tes bras pour ne plus sentir ces draps froids qui gèlent mon coeur peu à peu. Je voudrais tellement courir après la liberté, avec toi, et non derrière toi, sans emprises, sans attaches, juste toi, la liberté et moi. Juste nous, nous et la route devant nous, nous et la nouveauté devant les yeux et le coeur. Ne plus regarder en arrière, de plus vouloir, ne plus pouvoir, ne plus ressentir ce besoin.

Petit bidon qui pousse doucement, j'aimerais que tu puisses vivre, que tu puisses connaître ton papa, que tu puisses toi aussi plonger, te noyer d'amour dans ses yeux comme je l'ai fait. Mais non, il faut juste vivre, vivre en attendant, vivre en espérant, vivre en attente de la liberté, vivre dans l'espoir, l'espoir qu'un jour ces fers qui m'attachent à la réalité se brisent. Faire de la patience son aliée. Je défaille, je deviens folle, dingue, incontrôlable...

Je t'aime, je t'aime toi et la liberté d'un amour sans fin et sans égal.

❤
​ 21
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#Posté le jeudi 20 juin 2013 22:32

Modifié le jeudi 20 juin 2013 22:49

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